31/05/23 au 02/06/23 – Journées d’étude du groupe de contact FNRS « Architecture et Sciences sociales » à l’ENSAP Bordeaux.

par Biau, Véronique, Fenker, Michael, Macaire, Élise

« Questions méthodologiques et épistémologiques de la recherche Toits temporaires urbains », communication à la Journées d’étude du Groupe contact FNRS [équivalant CNRS belge] Architecture et Sciences sociales, organisé à l’ENSAP Bordeaux, 1er juin 2023.

Véronique Biau, Michael Fenker et Elise Macaire ont participé aux Journées d’études à l’ENSAP Bordeaux lors de la troisième rencontre du groupe contact FNRS « Architecture et Sciences sociales ».

L’édition a réuni des membres de plusieurs établissements et laboratoires liant architecture et sciences sociales à Paris et en Belgique : LET, Team 11, SASHA, Uses&Spaces et PAVE.

Celles-ci avaient pour thème « La recherche en Architecture, ville et sciences sociales : interroger les postures et méthodes. Convergences, divergences, circulations et hybridations ». Le groupe réunit cinq centres de recherche belges francophones et français (dont le LET) qui ont en commun d’interroger les liens méthodologiques, théoriques et épistémologiques entre les sciences de l’art de bâtir et de l’urbanisme, d’une part, et les sciences sociales, de l’autre.

« Le doctorat en Cifre ; quoi mettre en commun de cette expérience individuelle ? », communication de Véronique Biau.
Dans sa communication, Véronique Biau interrogeait la nécessaire capitalisation des acquis des doctorants effectuant leur thèse en immersion, le plus souvent dans le cadre du dispositif Cifre. Au-delà de la dimension immensément individuelle de ce parcours, souvent jalonné d’embûches, commencent à se dessiner des références théoriques communes, une typologie de postures.

La communication de Michael Fenker, intitulée « Questions méthodologiques et épistémologiques de la recherche Toits temporaires urbains », a été l’occasion de préciser le contexte particulier de l’objet de recherche, la démarche d’un consortium d’acteurs engagé dans le premier partenariat d’innovation du secteur de la construction. La communication a également porté sur la difficulté, pour l’équipe de recherche, de parvenir à articuler la temporalité de la recherche à celle des acteurs professionnels et de trouver des modalités de travail dans lesquelles les membres du consortium peuvent percevoir un intérêt des apports de la recherche.